« Venez comme vous êtes » a déclaré un chef mondialement connu. C’est sur ce merveilleux conseil que se fonde notre splendide université Lyon 2.
Parmi les 28 000 étudiants inscrits à la faculté, on peut remarquer qu’il y a de nombreux profils très différents les uns des autres.
Certains s’y sont inscrits volontairement, ont fait un choix réfléchi en décidant de s’inscrire à l’université. Alors que d’autres y sont plutôt par défaut, soit parce qu’ils ne savaient pas précisément ce qu’ils voulaient faire, soit parce que leur premier vœu n’a pas été accepté.
On peut le voir aussi par la grande liberté d’expression et de penser sur le campus de Bron. En effet, différentes idées sont portées par les étudiants sans qu’ils soient critiqués pour cela, comme par exemple les idées communistes ou anarchistes. On peut remarquer dans les bâtiments de la faculté des signes représentant leurs convictions comme le marteau et la faucille pour les communistes ou le A au centre d’un cercle pour les anarchistes.
Les étudiants ont, malgré tout, certains préjugés sur les différentes filières à l’université. Par exemple, ceux faisant partie des Lettres sont vus par les autres comme des étudiants qui n’auront pas de débouchés après la fin de leurs études ou alors qu’ils deviendraient tous professeurs. Il en est de même pour la licence AES (Administration Économique et Sociale) où il y aurait le préjugé selon lequel les étudiants ne pourraient pas trouver de métier avec cette licence. Mais, selon Mme Benoiton, conseillère d’orientation, dans un article publié le 18 mars 2015 dans Le Monde et intitulé « Cinq préjugés sur les études supérieures passés au crible », les étudiants obtiennent des connaissances dans différents domaines très variés. À la fin de leurs études, ils pourraient entrer dans un école de commerce ou encore trouver un métier dans l’administration ou la fonction publique.
C’est en fait le cas pour tout le monde d’avoir une image péjorative des filières dont on ne fait pas partie.
Les étudiants sont tout de même relativement ouverts sur le campus de Bron et à Lyon 2. Ils acceptent le fait que les autres peuvent avoir des idées différentes des leurs bien plus que dans d’autres universités.
Si vous êtes intéressé/ée pour avoir plus d’informations sur le sujet, voici le lien vers l’article du Monde du 18 mars 2015, « Cinq préjugés sur les études supérieures passés au crible »: Le Monde « Cinq préjugés sur les études supérieures passés au crible »