Résumé Les nuits assassines

Je n’ai pas l’habitude de lire beaucoup de BD ou de romans graphiques. J’ai donc emprunté ce livre par hasard en cherchant dans le catalogue de la médiathèque de ma ville. Je l’ai choisi car sa couverture m’a attiré. Je voulais comprendre pourquoi la situation était ce qu’elle était sur l’image représentée.

J’aime beaucoup les romans policiers et les histoires avec du suspense et le résumé de l’histoire m’intriguait. Mais j’avais tout de même peur de ce qui pourrait arriver comme évènements au vu de l’image de couverture. Une femme dans un lit avec ses deux enfants endormis à ses côtés était en train de crier. Son visage exprime l’effroi pour une raison que l’on ne comprend pas, tout semble normal autour d’elle.

Le livre raconte l’histoire d’un couple, Axel et Helga. Helga n’est pas acceptée par la famille d’Axel car son père serait responsable de la mort du mari de sa belle-mère. Elle n’est jamais invitée aux réunions de famille et Axel s’y rend seul à chaque fois. Peu de temps après leur mariage, Axel tombe malade et meurt. Après sa mort, d’étranges évènements se passent. Les membres de sa famille meurent un à un. On pense au début à des accidents mais on trouve de même bizarre qu’uniquement la famille Neunhöffer soit touchée. Une enquête de police est menée et les soupçons se portent sur Helga. Tout le monde pense qu’elle est coupable car elle aurait voulu se venger de sa belle-famille, qui ne l’a jamais vraiment accueillie. Mais l’enquête piétine et les policiers ne trouvent aucune preuve pour inculper Helga.

Les membres de la famille commencent à penser à une malédiction et que quelqu’un souhaite leur mort. Il y aurait une légende selon laquelle un chat pourrait provoquer une malédiction s’il monte sur le lit d’une personne en train de mourir. Le chat viendrait ensuite récupérer 9 membres de la famille du défunt pour qu’ils se retrouvent dans la mort. Or les faits ressemblent étrangement à la légende.

Je recommande ce livre car l’histoire est prenante et il y a du suspense ; de fréquents allers-retours sont faits entre passé et présent. L’histoire m’a fait penser au roman d’Agatha Christie, Les dix petits nègres. Les personnages dans les deux cas meurent de manière inexpliquée et on ne comprend que ce qui s’est passé qu’à la fin. Contrairement à ce roman graphique, il n’y a pas de place pour le surnaturel dans l’ouvrage d’Agatha Christie.

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